A l’heure où la parole des femmes harcelées se libère, il serait plus que souhaitable que celle des victimes de violences conjugales soit audible.
Seulement, la première condition à la confidence de ces femmes est la posture des professionnels et des proches qui vont permettre – ou pas – la possibilité de se livrer en confiance, sans avoir peur du jugement.
C’est tout le propos de « J’aimais le diable ».
Et nous avons besoin de vous pour faire entendre ce message.
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